LES parasites dans la legion
Mon General
Je me permets de vous contacter avec cette lettre, qui résume une triste histoire vécue par moi-même. J’ai eu l’honneur de vous rencontrer à l’époque où j’étais secrétaire de cette amicale. Vous avez pu constater le travail que je fournissais au sein de l’amicale de Puyloubier, défenseur incorruptible de l’identité, et du respect de la tradition de la légion. Pour cette raison, je sollicite votre bienveillance afin que la personne impliquée dans cette triste affaire soit a jamais écartée des associations où des légionnaires cherchent a retrouver des camarades avec qui ils ont des souvenirs vécus ensembles.
Exposé des FAITS
Les MALOSZYK.
A cette époque, étant secrétaire de l’amicale, j’étais celui qui recevait et inscrivait les nouveaux venus. Ils ont débarqué je ne sais pas par quel biais et ni par quel piston, en tout cas ils savaient servir leurs propres intérêts. Sapés riches, les mains mains toujours prettes à faire des gestes financiers, rien ne leur a été demandé comme information, que ce soit sur son passé civil ou militaire. Bref, le flou absolu à un moment il se disait secrétaire de l’ONU. Quand on commençait a trop le ferrer, il faisait un don et tout le monde reculait d’un pas « une honte » cette politique d’argent qu’avait le president à cette époque. Il s’était aussi venté d’être diplomate et ingénieur. Enfin bref, au début il me prend pour cible. Vu la consonance de son nom (polonais), il me porte un intérêt particulier car en générale moi étant d’origine Hongroise les deux nations s’entendent bien.
C’était un prédateur j’aurais dû me méfier dès le début. Comme secrétaire à l’amicale, j’étais trop gentil, facile à manipuler en jouant sur l’accueil de la légion, ils me harcelaient pour différents passe-droit et dérogations tel que des ouvertures pour les repas de fin d’année strictement réservés aux membres du conseil d’administration. Je me suis fait mal voir par le president de l’époque car je me suis insurgé contre eux et fait avoir par leur ténacité. Des coups de téléphone à 22h ou même plus tard le soir pour me dire « Jeannot on se cale pour demain pour Puyloubier » en fait il savait très bien que vers 10 h j’étais présent, je ne répondais pas, c’était alors sa femme qui m’invectivait « jamais tu ne réponds au téléphone ».
Je commençais à trouver louche cet attachement envers ma personne, que je prenais au début comme signe d’amitiés, cependant je ne me suis pas assez méfié.
Puis un jour lors d’une manifestation ludique, je traversais les près à Puyloubier en bas vers les platanes, les bras chargés de documents alors que j’étais toujours secrétaire et avais des tâches administratives à fournir. A moitié du parcours se tenait ce monsieur dénommé MALOSZIK.
Passant à ses cotés il m’a attrapé par le cou puis m’a embrassé sur la joue, plus près de la bouche que des oreilles dévoilant ainsi sa vraie nature et ses intentions !!! Ce que je soupçonnais depuis un bon moment. A partir de ce jour, j’avais décidé de lui nuire car il était clair, qu’il m’avait pris pour l’un de ses semblables. Il était à l’amicale a la recherche d’une copine, poussé par ses bas instincts. J’avais fait part de son comportement au président, qui à l’époque m’avait qu’il ferait une enquête car a son avis également ils n’étaient pas clairs.
Au bout un certain temps je lui ai posé la question, elle en est où ton enquête sur le couple, le président m’a répondu avoir laissé tomber car ces derniers «faisaient des dons ». Déduction l’honneur des légionnaires est moins important que l’argent donné par ces gens-là.
Ils sont présent de partout papillonnent parmi les légionnaires avec qui ils se permettent une conduite aussi choquante qu’indigne. Tout ceci est selon mon humble opinion écœurant. Ils se sont même permis de débarquer à une aïoli dans mon fief de Saint Victoret, aussi, je vous faire part mon général qu’ils n’y sont pas restés longtemps. De même à une AG de l’amicale ils se sont permis de brancher le président de l’UNC de St VICTORET en se prétendant de nouveau comme diplomate et secrétaire de l’ONU.
Puis lors de l’assemblée des anciens de KOLWEZI où j’étais invité par le president de l’amicale du VAR qui est le president de cette association, où je me suis rendu en tenue d’ ancien pour assister à la cérémonie. Lors du repas, comme à l’accoutumée, une bande de civils a bien profiter des victuailles et du vin qui coulait à flot. Suite au repas le président a invité les anciens de Kolwezi à l’occasion d’une photo de famille des vétérans, je me suis abstenu d’être présent sur cette photo car j’étais déjà civil quand cette évènement a eu lieux.
Cependant, lorsque je suis rentré chez moi, j’ai vu sur l’internet que M. MALOSZYK avait paradé sur cette photo de vétérans alors qu’il n’était pas présent à KOLWEZI et encore moins au sein de la légion. Mon sang n’a fait qu’un tour car à mon humble avis « un civil ne devrait pas être autorisé a figurer sur une telle photo d’anciens combattants. Ce, encore moins sur une photo d’un tel fait d’Armes et alors qu’il n’a même pas fait son service militaire et encore moins appartenu à la grande famille de la Legion Étrangère. Revolté, je me suis donc permis d’illustrer cette photo du commentaire suivant sur facebook : « il a fait Kolwezi où, lui, à la rue Curiol?». Ce que je trouve très regrettable, c’est que les organisateurs de cette cérémonie aient autorisé ce dernier à faire ceci sans lui dire mot. À croire qu’il n’y a que moi qui me soucie de notre identité et de nos valeurs. Le temps a passé, puis un jour j’ai reçu un coup dde téléphone de la GENDARMERIE de TRETS m’informant qu’une plainte avait été déposée à mon encontre et que je devais me présenter à la brigade. Le Gendarme me propose de transférer mon dossier à la police de Marignane pour que cela me soit moins loin.
Préférant avoir a faire à des gendarmes, je me suis rendu un dimanche après-midi avec ma compagne à la gendarmerie de TRETS. Le chef d’accusation « insulte en public » alors que je ne lui avait même pas adressé la parole. Apres mon audience, le gendarme m’a fait part du fait laisse que l’affaire relevait plutôt d’un traitement en interne légion que de la justice, mais qu’en tant qu’OPJ, il se devait de transmettre le dossier au parquet.
C’est une innovation c’est du jamais vu qu’un légionnaire chez lui (Amicale des anciens légionnaires) se fait citer devant les tribunaux, alors que nous avions la tradition de laver notre linge sale en famille.
Aussi, mon général, j’attire respectueusement votre attention, sur le fait que je trouve personnellement révoltant le faut que ces personnes, généreusement « admises » parmi les légionnaires de l’amicale puissent faire Loi. En outre, je me questionne sur qui la faute doit reposer ? J’ai quand même quelques soupçons sur son entourage propre, qui profitent largement de la structure de l’amicale, un pour son commerce, l’autre pour se faire un nom, ou bien d’autres qui n’ont rien fait de leur vie alors qu’ ils se prennent pour des légionnaires. Ou encore d’autres qui sont présents pour écluser les fond de bouteilles. J’ai des suspicions sur certains légionnaires et leurs épouses qui sont de connivences avec cette équipe de parasites
Aujourd’hui on voit les Maloszyk de partout, même à l’AG du Musée, à la ST GEORGES à CARPIAGNE. Bien que je l’ai viré manu militari, je trouve outrancière leur présence en tant qu’amicalistes, et notamment le fait de se permettre de s’incruster au sein d’un groupe de vétéran.
Dans l’opération BONITE , vous savez mieux que moi , que des légionnaires du 2e REP ont perdu la vie pour sauver des familles civiles . Ainsi que nous en Algérie d’autres perdu ou lors d’autres missions OPEX. Il est donc inadmissible selon moi, que l’on se permette de s’approprier les faits d’armes « de ces légionnaires ».
Au bout de quelques semaines j’ai reçu un appel de la Gendarmerie de TRETS m’informant que la plainte avait été classée sans suite. Il est certain que le clan a pris une gifle dans la figure car ils me voyaient déjà fusilier sur le poteau d’exécution, dommage pour eux ils ne savaient pas à qui ils se sont attaqué. Mon général, je respecterai votre décision quelque soit celle que vous prendrez, soyez assuré que je ne baisserai la tête que devant Dieu le tout puissant.
J’attendrai avec ferveur vos décisions et directives quant à cette situation odieuse dont je fais actuellement l’objet et qui souille mon honneur de légionnaire.
Je vous prie de bien vouloir agréer, mon général, l’expression de mes honnêtes et respectueuses salutations.
Respectueusement,
Jean FEHER
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